L’audience promettait d’être longue. Elle l’a été encore bien plus qu’attendu… Interpellé en début d’après-midi par une avocate, inquiète de la durée des débats à venir au vu du décalage entre le nombre important de prévenus – neuf – et le faible temps prévu pour les juger – une demi-journée – Eric Durrafour, le président du tribunal de Niort, avait esquivé par un trait d’humour. « Avant 21h, ce serait bien ! ». Une allusion au match d’ouverture de la Coupe du Monde de rugby entre la France et la Nouvelle-Zélande, prévu dans la soirée. Mais sans surprise, il n’en a rien été.
Pis, le procès des neuf personnes accusées d’avoir organisé des manifestations et des actions contre les « bassines » n’a même pas pu aller à son terme. Après huit heures de débats dans une salle assommée par une chaleur caniculaire, Eric Durrafour s’est résolu à l’ajourner au 28 novembre, sur proposition de la défens
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