Lorsque l’un de ses sept agneaux a disparu, le premier week-end d’avril, Jean-Claude Le Néen a tout de suite pensé à un larcin et s’est empressé de déposer plainte à la gendarmerie. Quelques jours plus tard, un deuxième animal disparaît. Puis un troisième. En dix-huit jours, celui qui élève des brebis depuis 1985, pour le plaisir de « [ses] enfants, puis de [ses] petits-enfants », a perdu plus des trois quarts de son troupeau. Les agneaux n’ont jamais été retrouvés, sauf un. « Un voisin a vu une tache blanche dans son champ », se remémore, ému, l’instituteur breton à la retraite, assis dans la cuisine de sa propriété des monts d’Arrée, dans le Finistère. Il ne s’agissait pas d’un vol : à terre, la pauvre bête était éventrée.
Ses soupçons se sont alors portés sur l’animal aperçu à la même période, à quelques kilomètres de sa maison : le loup. Les photos des cadavres prises avec son télépho
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