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En matière de lutte contre le réchauffement climatique, les « puits de carbone », ou éviers selon l’expression anglophone, que sont les forêts et les océans jouent un rôle essentiel. Sauf que les arbres vont mal et perdent de leur efficacité…
Le réchauffement climatique, c’est une mécanique complexe, dont les non-scientifiques apprennent à connaître non seulement les différents rouages, mais aussi les termes parfois déroutants. On sait que le problème principal vient de la combustion des énergies fossiles, qui envoie des particules de CO2 dans l’atmosphère. Celles-ci, en s’accumulant, viennent empêcher les rayons du soleil venus frapper la Terre de repartir dans l’espace. C’est le fameux « effet de serre ».
Mais il existe aussi des engrenages secondaires, moins connus, qui inquiètent grandement les scientifiques. Il s’agit de mécanismes par lesquels le réchauffement s’auto-entretient. L’effet devient une cause, et l’on parle alors de « boucles de rétroaction ». L’une de ces boucles de rétroaction a tenu la vedette cet été : les « puits de carbone ».
« Puits de carbone » ? On ne parle pas ici d’un trou foré dans la terre, mais, de façon imagée, d’un …
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